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In Nomine Domini

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« Je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean XVIII. 37)


Les quatre antipapes de la fin des temps

Publié le 31 Juillet 2014, 10:32am

Catégories : #Éric Faure

SUR LES QUATRE ANTIPAPES QUI ECLIPSENT LE PAPE SOUFFRANT DES DERNIERS TEMPS DE LA PAPAUTE DANS LA LITTERATURE APOCALYPTIQUE DU XII ème et XIII ème siècle :

Luciani, Wojtyla, Ratzinger et Bergoglio éclipsant le vrai pape Paul VI, ces quatre antipapes vus par Principium Malorum.

Article de Eric Faure, expert en littérature apoclayptique médiévale.

 

IL A ETE PROPHETISE DANS PRINCIPIUM MALORUM, le manuscrit le plus important de cette littérature, QUE CES QUATRE ANTIPAPES SERONT DEMASQUES D’AUTORITE PAR LE PAPE SOUFFRANT lors de son retour d’exil miraculeux, ce pape souffrant dans Principium Malorum, étant un pape propre aux derniers temps de la papauté, que le monde croira mort alors qu’il sera toujours en vie, qui suivra les pas du Christ dans sa passion, mais également dans sa résurrection !

 

« Principium malorum » parle des antipapes des derniers temps de la papauté (c’est vrai aussi de l’Oraculum Cyrilli, même si je n’en parle pas ici), avant et après les oracles concernant le pape souffrant. Principium Malorum en parle avant, avec l’oracle qui a pour titre « potestas, unitas erit » - la puissance, ce sera l’unité. Cet oracle concerne l’ouverture du temple de Dieu, à tous les hérétiques, à tous les ennemis de l’Eglise et à toutes leurs idoles. Cette unité diabolique de toutes les fausses religions sera présidée par l’ennemi sur le siège de Pierre, nous fait comprendre l’oracle. Elle se soldera nous dit Principium Malorum, par l’élévation de l’antéchrist-antipape (Wojtyla) sur les autels , « louangé dans les murs de Rome » par ses propres successeurs ou préposés « qui ont jugé si injustement » (par Ratzinger et Bergoglio : il n’est pas besoin de vous dire ce qui dans les Saintes Ecritures fondent cette interprétation !) et Principium Malorum nous avertit ensuite que la Ruine de la Rome apostate sera proche à ce moment là, (cette élévation abominable de Wojtyla, je l’ai comprise par Principium malorum, dès 1999, comme le prouve mon ouvrage de 1999 publié aux Editions DFT, qui sert de référence à beaucoup).

Et enfin, de cette antipapauté, Principium Malorum, en parle après les oracles concernant le pape souffrant de la fin des temps, dans l’oracle final qui a pour titre ou devise « reverentia et devotio augmentabitur ». Ce dernier oracle fait référence au redressement de la situation de l’Eglise, «  l’augmentation de la dévotion » (devotio augmentabitur) des fidèles par le retour miraculeux du pape souffrant ( C’est à cela que pense Notre Dame de la Salette, lorsqu’elle dit « alors se fera la paix, la réconciliation de Dieu avec les hommes, Jésus-Christ sera servi, adoré et glorifié » ). Cet oracle révèle également ce qu’il en sera de l’antipapauté antéchristique, lorsque le pape souffrant sera sur le point de sortir miraculeusement de son exil caché. Et il est rappelé dans cet oracle, que compte tenu de cette corruption des lieux saints, par cette fausse papauté, que le malheur va bien s’abattre sur la Rome apostate, « cité sanglante, pleine de l’hypocrisie ». Cela tend à indiquer que lorsque le retour du pape souffrant approchera, les lieux saint de Rome seront sur le point d’être détruits par les flammes.

 

Il convient de revenir à « Bona intentio » qui contient un oracle et une illustration, comme c’est le cas de toutes les devises du corpus, et bien, c’est dans l’illustration de cette devise, que l’on a des précisions sur les membres de l’antipapauté antéchristique, leur nombre et bien plus encore, ces antipapes étant au nombre de quatre au dessus desquels se teint un Ange de Dieu, les démasquant d’autorité, en leur arrachant la mitre bicorne, dont ils se sont parés, ce qui a pour effet de montrer toute leur laideur, leur véritable visage. La vérité est ici dite en image, dans Principium Malorum.

Les quatre antipapes de la fin des temps

Au dessus de ces bêtes, se tient donc dans l’illustration un ange ailé tenant dans sa main droite une mitre (bicorne classique ou à pointe selon les illustrations connues des experts), qui en retirant la mitre dont chacune des quatre bêtes était coiffée, démasque d’autorité les usurpateurs du pape souffrant, usurpateurs symbolisés par ces quatre bêtes. Deux exemples suffiront à illustrer nos propos, le premier est tiré du manuscrit Principium Malorum de Cambridge, ( Corpus Christi collège, MS 404, fol. 93), où l’ange suspendu par des ailes dans une position assise, vient de tirer la mitre dont été parée la fausse papauté, montre le véritable visage ou l’aspect intérieur des usurpateurs du pape souffrant : il s’agit de quatre chiens, dont deux en bas, un petit (Luciani) et un grand (Wojtyla), qui sont des chiens dessinés dans leur intégralité, vus de profil, mais des chiens hybrides, en ce sens qu’ils ont des pattes d’ours ou de félins, toutes griffes sorties acérées et les oreilles pendantes, et au dessus d’eux, deux autres chiens siamois car accolés l’un à l’autre par le ventre (Ratzinger et Bergoglio) et sans pattes, et avec les oreilles dressés ; le second manuscrit est celui de Florence ( Biblioteca Riccardiana, MS 1222B, fol. 6 ) représente toujours un ange ailé, mais debout cette fois et en plus une auréole autour de la tête, les bras écartés, tenant dans sa main droite une mitre bicorne, et la main gauche sous forme de ciseau cherchant à tailler l’oreille de l’une des quatre bête au dessous de lui, dont l’ange vient de retirer à chacun la mitre dont elles étaient affublées.

 

Ces quatre bêtes ont également un aspect monstrueux, elles sont représentées sous la forme de deux arcs ou deux « U » reposant sur un autel ou un sarcophage ou cercueil, chaque extrémité des arcs, contenant une tête hybride, vu de profil mis humaine, mi bestiale, avec le nez et la bouche avancés, un œil en amende, et des oreilles de chiens toutes dressées , les deux têtes du côté droit de l’image , ont chacune une langue fourchue très grande qui sortent de leurs dents (Ratzinger, Bergoglio), les deux autres têtes (Luciani, Wojtyla) sont identiques, mais sans langue. Si les deux chiens de la première illustration ont les oreilles dressées à l’inverse des deux autres chiens qui ont les oreilles baissées, alors que ces chiens sont tous de la même race, c’est que les deux chiens qui ont les oreilles dressés sont attentifs et les deux autres chiens ne le sont pas, et si sur les chiens de la seconde illustration, deux sortent leur langue fourchue, et les deux autres ne la sortent pas, c’est que les uns peuvent parler et les deux autres ne le peuvent pas, cette inactivité des uns, par rapport à l’inactivité des autres, on l’explique mais on peut ici se tromper par le fait que lorsque l’antipapauté sera démasquée par un ange du ciel, deux des antipapes ( Luciani et Wojtyla) seront morts, les deux autres ( Ratzinger et Bergoglio) seront encore en vie.

Les quatre antipapes de la fin des temps

Il n’est pas besoin d’un texte pour comprendre qu’il s’agit ici d’antipapes, car outre le fait que les bêtes sont le symbole d’un pouvoir usurpateur et tyrannique, voir parfois d’un pouvoir temporel (Dan. VII 3, 17 ; Exode XXXIV 28), ces chiens étaient affublés d’une mitre, le chien est le symbole de l’impureté et de l’apostasie (Prov. XXVI, 11 ; Philip ; III 2 Apoc. XXII, 15), symbolise le mauvais ouvrier, est mis du côté de la prostituée (Prenez garde aux chiens, prenez garde aux mauvais ouvriers » Philippe 3 ;2 «  le gain d’une prostituée ou le salaire d’un chien sont une abomination » Dt 23.19 mis en parallèle avec la prostituée : 1 Roi 22.38), du côté des magiciens ( des « faiseurs du miracles » du secret de la Salette) , des fornicateurs, des meurtriers, des idolâtres et de ceux qui aiment le mensonge ( Apo. 22, 15), du côté des scélérats ( psaume 22.12 ), des persécuteurs du Christ (Car des chiens m’environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds, psaume 22 ;16 ) et par-dessus tout, les mauvais pasteurs, les mauvais gardiens ou surveillants ( évêques ) sont comparés à des chiens muets, voraces, insatiables, aimant à sommeiller dans Isaïe, 56, 16 ( + Isaïe 56 :10 : ces gardiens sont tous aveugles, sans intelligence ; ils sont tous des chiens muets, incapables d’aboyer ; ils ont des rêveries, se tiennent couchés, aiment à sommeiller. 11 Et ce sont des chiens voraces, insatiables ; ce sont des bergers qui ne savent rien comprendre ; tous suivent leur propre voie, chacun selon son intérêt, jusqu’au dernier). L’Apôtre Paul avertit les Philippiens, de prendre garde aux chiens ; à ceux dont le caractère et la conduite ne sont pas purs ; à ceux qui ont une apparence de chrétiens, mais qui sont hypocrites, trompeurs, déloyaux et menteurs ; de mauvais ouvriers, de faux circoncis («  Ces hommes là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. 1 Cor. 11, 13).

Dans le manuscrit de Lunel (Bibliothèque municipale) , la photographie du manuscrit publié dans les cahiers de Fanjeaux, avec le concours d’Hélène Millet et dominique Rigaux , de la page qui porte sur la devise de Bona intentio, il y a quatre lapins petits, se touchant tous, deux bondissant à droite, deux bondissant à gauche, aux pieds du pape souffrant , se trouvant debout, tenant toujours une mitre dans sa main droite, et la main gauche montrant du doigt les quatre lapins, cette transposition de l’ange métamorphosé en la personne du pape, s’explique par le fait qu’il est parlé du pape souffrant dans l’apocalypse comme d’un ange, l’ange étant le symbole de l’Apôtre, du chef dirigeant l’Eglise, ange signifiant messager, et le pape souffrant étant le messager de Dieu ou de N.S. Jésus-Christ, son envoyé, et le lapin est un animal lunaire, relié à la déesse terre et aux mondes souterrains, car c’est un creuseur de galerie, vivant dans les terriers, avec tous les rapprochements qu’il convient de faire avec la franc-maçonnerie travaillant souterrainement dans le plus grand des secrets, sans compter que pour Isidore de Séville au VII ème siècle, cuniculus (nom latin du mot lapin) , serait une déformation de caniculus, le petit chien, car il faut des petits chiens pour pouvoir entrer dans les terriers, et l’expression « fou comme un lapin » fait allusion à la lubricité de l’animal, et enfin, en tant que image liée à la déesse Aphrodite ( Vénus, son animal préféré est le lapin ), le lapin ou lièvre « a longtemps symbolisé le paganisme dans la chrétienté, sa capture par un chasseur était autrefois une métaphore du paganisme vaincu » ( Dictionnaire des symboles) , sans compter que le lapin est associé à la luxure à cause de sa sexualité débridée et de sa prolifération.

Je veux dire par là, qu’il est certain que nous avons à faire dans ce symbolisme à quatre antipapes, fruit du travail souterrain de la Synagogue de Satan contre l’Eglise, et cela est valable dans toutes les copies qui nous viennent du Moyen Age rapportant Principium Malorum, qui était au Moyen Age l’Apocalypse post-biblique la plus répandue, que bien des princes de l’Eglise voulaient avoir et ont eu dans leur bibliothèque privée, les papes y compris.

Les quatre antipapes de la fin des temps

En effet, Dans une copie médiévale de Principium malorum se trouvant à Londres ( B.L. Arundel 117, fol. 150 ), il est clairement établi à la devise  «  bona intention », dans la gravure de la dite devise, que les quatre bêtes sont des loups ravisseurs habillés en agneau, en effet, à côté du pape qui se tient debout tenant une tiare , au dessous de la tiare en question, se trouvent certes des corps de brebis avec les sabots fendus, mais avec des têtes se mutant progressivement en tête de chiens ou de loups. Ce que l’auteur de la gravure a voulu signifier, c’est que ces prétendus agneaux sont en réalité des canidés. Qu’il s’agisse du chien ( kèlèb dans la langue hébaraïque ), du loup ( ze’eb) ou du chacal ( tan ), importe peu d’ailleurs car les canidés occupent tous en règle général, la mauvaise place, et même le chien parce que le fait qu’il ait l’apparence de l’agneau, montre qu’il n’est pas là pour protéger le troupeau des loups, mais bien au contraire, qu’il s’est mis du côté des loups, les laissant dévorer les brebis. Tout ce que l’on sait avec certitude, c’est que derrière les brebis se cachent en réalité des canidés, c’est incontestablement la preuve par l’image, comme pour les idiots qui ont besoin de la preuve de l’image, que nous avons bien à faire dans ces quatre bêtes groupés ensemble à des antipapes, qu’il s’agissent de chiens hybrides avec des pattes d’ours ou de félins, croisés avec des prédateurs, de monstres difformes comme des arcs redresser avec des têtes mi humaines, mi animal avec une langue fourchue, de lapins fous bondissant à droite et à gauche dans tous les sens, ou d’agneaux avec des têtes de canidés, cette diversité symbolique loin de se contredire, se tient comme les doigts d’une seule main, et maintenant si des lecteurs n’ont toujours pas compris avec nos explications d’une clarté et d’une simplicité éclatante, c’est que leur ignorance est invincible par la simple raison naturelle, et ne sera vaincue que par la sainte colère de Dieu frappant celui qui ne veut pas voir et s’obstine dans l’erreur.

Les quatre antipapes de la fin des temps

Il est intéressant de noter ce dualisme au sein de cette représentation de l’antipapauté antéchristique dans les illustrations de la devise « bona intention » ; tantôt on a affaire à deux chiens hybrides ou le corps est représenté de profil dans son intégralité les oreilles pendantes, avec deux autres chiens vus également de profil de la même race mais siamois attachés par le ventre, et sans patte et sans queue, dont le corps est fusionné avec un autre corps, mais avec des oreilles dressées et non plus pendantes, tantôt on à faire à des monstres vus de profil en forme d’arc relevé, avec aux extrémités des arcs, deux têtes mi humaines mi bestiales au museau, à la tronche avancée, qui tirent une langue fourchue, et deux têtes aussi hideuses du même type qui montrent également leurs dents mais ne tirent pas la langue, avec des lapins, dont deux lapins, qui bondissent à droite et deux lapins qui bondissent à gauche, ces lapins fous se touchant les uns aux autres, et maintenant nous avons affaire, à de fausses brebis avec des têtes de canidés, dont deux sourient, ont la gueule tirée vers le haut, mais les deux autres font ce que l’on appelle communément la gueule, avec la gueule tirée cette fois vers le bas.

Ce dualisme se trouve étrangement dans le discours de Mélanie parlant de deux papes « plats vermouleux et douteux », et nous avons démontré dans notre ouvrage de 1999, qu’il s’agissait d’antipapes, or que Paul VI soit mort ou au contraire en vie, il est clair que le nombre des antipapes dépasse le nombre deux. Et lorsque Mélanie nous parle de deux antipapes, c’est lorsqu’elle voit la situation juste avant l’avènement extraordinaire du redressement de l’Eglise, par un saint pape ou un grand monarque ( dont on sait par l’histoire des idées, que cela concerne le retour miraculeux du pape souffrant qui est un monarque oint ) , ce découpage signifiant que lorsque le pape souffrant reviendra, deux des antipapes seront morts ( Luciani et Wojtyla), c’est la raison pour laquelle ils sont représentés dans Principium Malorum avec des chiens avec oreilles pendantes, parce qu’ils ne peuvent pas être attentifs ici bas à l’intervention de N.S. Jésus-Christ les démasquant ici par son ange ou son pape, c’est la raison pour laquelle deux monstres ne tirent pas la langue, parce qu’ils ne peuvent pas réagir par la parole à l’Ange qui les démasquent d’autorité, puisqu’ils sont morts, et c’est la raison pour laquelle deux chiens à corps d’agneau éloignés du pape sourient parce que l’action qui se passent au dessus d’eux, le pape qui leur enlève la mitre, ne peut pas les atteindre directement, parce qu’ils sont morts, et ce découpage signifiant que lorsque le pape souffrant reviendra, deux antipapes seront encore en vie ( Ratzinger et Bergoglio ) et c’est la raison pour laquelle, deux autres antipapes ( Ratzinger et Bergoglio ) en revanche sont représentés dans Principium Malorum, par des chiens accolés l’un à l’autre, comme Anne et Caïphe, car ils vivent ensemble , travaillant de concert l’un avec l’autre, avec des oreilles dressées, car ils seront vivants lorsqu’ils seront démasqués d’autorité par le retour du pape souffrant ; c’est la raison pour laquelle, on a deux monstres réagissant en tirant leur langue fourchue, à l’ange qui les démasque d’autorité, parce qu’ils seront en vie, lors du retour miraculeux du pape souffrant, et c’est la raison, pour laquelle, on a deux têtes de chiens avec des corps d’agneau, regardant le pontife souffrant en faisant la gueule parce qu’ils seront vivants, lorsque ce dernier reviendra pour les démasquer d’autorité, et cela explique la raison pour laquelle, on a des lapins fous, deux du côté gauche parce qu’ils sont morts, et deux du côté droit parce qu’ils seront encore en vie, lorsque le pape souffrant viendra démasquer d’autorité ce monde là !

Avec le temps, après le Moyen Age, les symboles permettant de reconnaître cette antipapauté dans les illustrations de la devise «  bona intentio » de Principium Malorum, ont été retranchés des reproductions de Principium Malorum, ainsi que le titre Principium Malorum, par la subversion dans le domaine « prophétique », comme pour nous empêcher de comprendre qu’il y aura une longue succession d’antipapes éclipsant le pape souffrant, qui comme tout éclipse ayant une fin, doit réapparaître dans tout son éclat, lorsque le temps de l’éclipse ou la durée de l’Antipapauté antéchristique sera arrivée à son terme. C’est la raison pour laquelle, dans les éditions les plus récentes de Principium Malorum, les illustrations de Bona intentio ont été falsifiées, où à la place des quatre bêtes que nous avons mis en évidence, se trouvent quatre brebis innocentes, ou un petit troupeau de brebis dépassant le nombre quatre, attachés par amour au bon pasteur qui tient au dessus d’eux une tiare, le symbolisme de Principium malorum, se trouvant scandaleusement inversé, avec un symbolisme qui dénature le message de Principium Malorum, lui faisant dire exactement le contraire de ce qu’il veut dire, où les bêtes hideuses sont présentées comme sympathiques, comme bonnes, appartenant au troupeau du bon pasteur, ce qui est bien évidemment, un ajout inspiré par le Diable , dans lequel l’artiste a cru qu’il était autorisé à dessiner ce qu’il voulait, s’est permis de changer les symboles et même de les inverser, tout en croyant probablement n’avoir pas fait le mal, et qui aura des compte à rendre au jugement dernier, pour cette simple modification ou falsification ! La reproduction suivante est tardive, c’est sur cette reproduction falsifiée dans les images, qui doit remonter au XVI ème siècle, et non pas de la fin du XV ème siècle, qu’a travaillé Roger Duguet – l’abbé Paul Boulin- aux débuts des années 1930-31 – dans son ouvrage autour de la tiare, essai sur les Prophéties concernant la succession des papes :

Les quatre antipapes de la fin des temps

Ah ! Seigneur, faites que cette antipapauté composée de quatre antipapes qui éclipse l’Eglise soit démasquée d’autorité par votre envoyé qui vit actuellement caché, comme à l’intérieur d’un tombeau ! Faites que l’Eclipse de l’Eglise et de la véritable Papauté se termine cette année ! Pour le salut des âmes ! Nous vous en supplions, Seigneur, avec l’aide et l’intercession de la très Sainte Vierge Marie ! Délivrez nous Seigneur du joug de cette Rome apostate dirigée par une fausse papauté ! Faites revenir le Saint Père Paul VI, pour que tous dans l’Eglise, puissent contempler vos merveilles accomplies dans ce pape autrefois si nu et misérable et que tous les méchants soient confondus, que la franc-maçonnerie soit humiliée, que tous nos ennemis soient anéantis ! Amen !

Eric Faure, le petit pèlerin de Notre Dame de la Salette, fait ce 31/07/2014, à l’approche de plus en plus imminente du retour de Paul VI.

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